C'est ainsi que Raymond Queneau définissait L'écume des jours.
RECOIN LECTURE vous propose pour ce semestre qui commence, la lecture de ce roman passionnant que vous trouverez facilement à la bibliothèque de l'École. Cette histoire que son propre auteur qualifie de "vraie puisqu'imaginée" est un chef d'œuvre de la littérature française contemporaine.
Bonne lecture à tous!
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3 comentarios:
Ça me semble bien le choix de Boris Vian. J´ai lu ( mais en espagnol ) il y quelques années le roman "Con las mujeres no hay manera " ( c´était une espèce de roman noir ). Donc je vais emprunter le livre à la bibliothèque, dont le titre me dit quelque chose, et je donnerai mon avis lorsque j´aurai fini la lecture.
À propos, je viens de terminer la lecture du roman de Daniel Pennac "Chagrin d´école". Il m´a beaucoup plu. D´abord, parce que c´est un livre sur l´école ( je suis prof de science ), sur le cancre pour être exact, mais le livre parle aussi des profs, des parents, de la société en somme, d´une manière vivante et amusante à la première personne (l´auteur a aussi été prof et avant d´avoir été prof il avait été de même un "cancre" ). L´auteur raconte donc un peu son expérience personnelle. Ça fait un livre chaleureux et "proche".
Mais maintenant, Boris Vian. On y va !
J´ai lu quelques pages du roman. Ce n´est pas mal. Mais je vais arreter la lecture pour le moment, parce que j´ai besoin maintenant de quelque chose de plus léger et je trouve le roman un petit peu "baroque". Cela ne veut pas dire que le roman soit mauvais. Un jour je reviendrai peut-être sur lui ( cela m´est arrivé de la même façon avec d´autres lectures).
Ça se voit que je lis surtout par plaisir.
Salut! J’arrive juste du coin de portugais. Ça ne vous dérange pas?
J’ai voulu savoir qu’est ce que vous lissiez en français. Boris Vian? Je ne le connaissais que pour la musique! Alors, piquée par la curiosité j’ai décidée de lire le livre et même de participer au blog.
Comme Luis j’ai trouvé « L’écume… » assez bizarre. J’ai recommencé plusieurs fois la lecture juste pour me rendre compte que, oui, je lissais bien, que, oui, je comprenais bien le français. C’était la narration comme ça. Pourtant, j’ai réussi à finir le livre et assez rapidement. L’histoire te prend.
J’ai trouvé un peu difficile de bien comprendre les mots inventés par Vian mais, avancée la narration, on se laisse aller et ça marche. En fait, je ne saurais pas dire s’il m’a plu ou non
Bon, mais si vous ne l’avez pas encore finie, je me tais. On continuera!
Manon
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